Juillet 2001 – Le maître et l’esclave des désirs

Chers Frères et Sœurs dans l’amour qui vient, je vous offre mon bonjour lumineux en harmonie avec l’Enseignement sacré qui soutient et éclaire nos vies. Comme vous le savez, le gouvernement français a interdit de parole et d’écrit Olivier, et cela en toute illégalité puisqu’une telle mesure ne peut être appliquée qu’à ceux qui tiennent des propos racistes ou révisionnistes. Néanmoins, cette mesure digne d’un pays totalitaire peut être une formidable occasion pour notre communauté d’apprendre à travailler avec la grande réalité invisible de l’Ecole et de nous préparer à rencontrer l’Enseignement d’une façon subtile. Peut-être que certains d’entre vous se souviennent qu’au moment de nous séparer, Olivier avait l’habitude de nous dire qu’il était en train d’enseigner dans le silence presqu’en permanence et que l’on pouvait donc recevoir l’Enseignement à chaque instant de la journée en se liant intérieurement à l’omniprésence invisible de l’Ecole. Le champ de vie de l’Ecole est en permanence disponible pour chacun de nous. Il se manifeste comme directive dans la pensée, comme harmonie dans le cœur, comme force dans la volonté, comme libération de l’emprise du mal dans le corps.

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