Cher Frères et Sœurs dans l’amitié, l’amour et le chemin glorieux, je vous souhaite une vie belle, juste et pleine de sens. Je voudrais partager avec vous ces moments rares qu’il m’est parfois donné de vivre avec Olivier. J’apprécie particulièrement lorsqu’il se met à parler des civilisations disparues, des événements lointains, d’histoire passée, de personnages antiques qui nous renvoient à notre propre vie et permettent de comprendre avec plus de finesse le monde dans lequel nous vivons. Ces moments se produisent souvent à l’improviste au détour d’une conversation, d’un événement… Qu’il parle de l’Egypte antique, de la vie de Jésus, de la reine Semiranis, des anciennes incarnations de Jacques l’éventreur, de la bête du Gévaudan ou de l’épouse de Zoroastre, le plus important n’est pas l’histoire en elle-même, mais cette impression d’y être et de découvrir une sagesse cachée qui traverse les siècles. On découvre alors que la vie spirituelle appartient à des domaines élevés et que c’est elle qui dirige la vie de la terre, des hommes et de l’histoire. Lorsque l’on s’élève vers la vie supérieure, l’histoire prend un autre visage, elle reflète une sagesse précieuse, un but sacré. Aucun acte, aucun événement n’est isolé, mais chaque chose appartient à un tout. Ainsi, notre propre vie est reliée au passé de l’humanité et de la terre et elle s’inscrit dans un ordre, dans une logique.