Olivier Manitara :
Père Ouriel, dans ton psaume 110, tu dis : « Lorsque les 4 Sceaux seront posés sur la terre et que les 4 portes seront ouvertes dans les mondes supérieurs, lorsque les 4 Cultes seront célébrés quotidiennement dans la pureté et l’impersonnalité sur la terre essénienne, le travail qui aura duré 7 années au cœur de la Ronde des Archanges sera achevé ; la Nation Essénienne existera
réellement sur la terre, sur les 2 terres, et un nouveau chemin s’ouvrira. » (Ouriel 110:1)
Tu dis aussi : « Au milieu des 4 Sceaux apparaîtra une pierre sur laquelle vous devrez écrire votre vie, sur laquelle vous devrez naître et mourir. C’est la pierre qui gardera votre mémoire d’Esséniens et c’est en elle que vous devrez vous fondre, lorsque le moment sera venu pour vous. Il ne s’agit pas de la pierre tombale, de la chute, mais du lieu de vie où tout ce qui aura existé de pur dans l’œuvre collective de la Nation Essénienne sera gardé intact dans le monde de la création et de l’humanité. » (Ouriel 110:17)
Père, cette pierre, est-ce la statue de Dieu ? Et ce nouveau chemin, est-ce le culte de la Lumière ?
L’Archange Ouriel :
Oui et non. Oui, car le travail accompli a permis de poser une écriture vivante et sainte sur la terre et, effectivement, un nouveau chemin et une pierre sont apparus comme le corps-réceptacle de Dieu, comme l’épouse du Père. Cela est un mystère sacré qui appartient de toute éternité à Dieu et à sa religion éternelle, immortelle, universelle. Mais la pierre qui sauvegarde la mémoire de l’Essénien n’est pas la statue de Dieu, c’est celle donnée par le Père Raphaël.
La pierre brute, la plaque d’argent, la pierre verte et la pierre-Dieu – 2015-12-11
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